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24 août 2008 7 24 /08 /août /2008 22:44
J'avais tout prévu !

Tout était réglé comme du papier a musique.



Après Roth, j'entretenais mes quelques aptitudes physiques jusqu'au 23 août, vu que je savais que ça allais être dur de m'entraîner sérieusement. A partir de là, je misais tout sur mes 10 jours de congés sous le soleil de MSA, pour préparer VdR  puis, il y avait le CD d'Evreux pour finir le cycle et enfin 2 semaines jusqu'a VdR pour me refaire la cerise.

C'était nickel, rien a redire.
Alors effectivement, au début ça c'est passé comme je l'avais prévu. J'ai pas foutu grand chose pendant quelques semaines, pas le temps. 2-3 petites séances vélo, 2-3 très petites séances nat par semaines plus quelques tests càp et basta.
Je sentais pas trop le truc au niveau de mon maintien de forme. Et pourtant je fus agréablement surpris lors de ma petite séance nata de vendredi qui lançait mon cycle de 10 jours. Mes temps furent même meilleurs qu'a l'accoutumé. C'était de bon augure. 
Je me voyais déjà chevauchant sur mon vélo les routes Normandes sous un soleil éclatant.



Bon, bah je repasserai pour le soleil. De la pluie. Comme depuis plusieurs semaines. En même temps c'est normal, c'est pas comme si on était en plein été au mois d'août.
 
Pour l'instant, je suis over vert de de la météo proposée. 




Puis, on enchaîne avec l'annulation du tri d'Evreux pour cause d'eau pas propre. Mais qu'est ce qu'on en a branler de l'eau pas propre ? On a des combies ! ( je voulais mettre "on est pas des tritapettes", mais pour ne pas heurter la sensibilité des plus prudes, je m'auto censure ;o)

Bref, tout se dérègle dans ma partition. 
Et il reste encore un dernier point a éclaircir concernant, une fois n'est phides coutume, ma capacité a courir.
Les quelques tests effectués me laisse très perplexes. Ce qui est sûr c'est qu'au dessus de 14-15km/h c'est pas bon du tout. En dessous, c'est pour le moins irrégulier en tout cas, beaucoup moins douloureux.  Rerereretour chez mon doc mardi pour voir ce qu'il en est. 


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8 juillet 2008 2 08 /07 /juillet /2008 16:39

Dès demain après midi, direction l'Allemagne que je rejoindrai jeudi, après une halte a Thionville pour faire dodo avec Patoche les gros cuissoux ou "Toutou" pour les intimes  (o; 

L'Allemagne, pays du bon goût :


Du bon goût :


Et du bon goût :



J'ai effectué dimanche la séance que je souhaitais faire vendredi (pas le choix :o( ), bilan mitigé sur les sensations a vélo. Grosse alerte à pied où après 3 petits footing effectués précédement, je n'avais plus eu de douleurs, je décidais suite a ma séance d'ostéo de faire la dernière première séance de qualité de ma prépa. 3x8' "soutenues".
Et a partir du 2ème 8minutes, j'ai morflé, des douleurs assez importantes sur le psoas. Conclusion sur le moment, au dessus de 12km/h, faut pas que j'essai. Et en effet, ce matin tentative d'essayage de recourir. Tranquillou, a allure (j'espère) de course, 10/11 km/h et zéro douleur. C'est déjà ça.

  
Pour la course, il "suffira" de ne pas transformer mes gambettes en crampe géante. 

Les bagages sont en cours de faisage, encore un petite nata ce soir pour la forme, demain matin, vélo avec un petit rappel de rythme et puis le départ pour la mecque européenne du tri, ou je retrouverais le reste de la green team ainsi que quelques forumeurs bien connus  :oD

J'ai juste très très hâte d'y être.

Après la course, saison finie, car je vais véritablement me mettre a soigner cette pubalgie.

Sur ce, boujou pi des sous et

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4 juillet 2008 5 04 /07 /juillet /2008 14:54



En effet, pour ce troisième IM de ma carrière, mais le premier sans Dave (o; je me suis fixé six callenges.

Callenge 1 : Finir. (Ca peut paraître chon, mais mine de rien, c'est important)
Callenge 2 : Parchourir la natation en 53'30 grand maxi !
Callenge 3 : Rester le meilleur performeur natatoire sur IM du club, une sorte de Jan Sibbersen Mont saint Aignanais (on a les vichtoires qu'on peut  ;o)
Callenge 4 : Parchourir la partie cychliste en moins de 5h (Là, je chommence a m'avancer un ptit peu...)
Callenge 5 : Chourir. Là, vous me dites oui, et alors ? Je vous répondrais alors, courir et non pas marcer ! En plus explicite, parchourir le marathon en moins de 4h15 (Là, euh... c'est le big défi de la vie de la mort qui tue sa mère)
Callenge 6 : Euh... j'en ai pas vraiment, c'était pour placer mon titre. Parce qu'avec 5, ça marcais pas. Bon, aller, j'en trouve un vite fait... euh... Finir devant au moins devant un et une pro de cette liste ! (y en a qu'on les foies là...  ;o)




Alors a 10 jours de la chourse, je suis a l'arrêt... pour 2 jours, suite a mon rendez vous chez l'ostéo. C'est toujours bon pour le mental de s'arrêter chomme ça et de bouleverser tout son programme, qui n'était déjà pas ce qu'on peut appeler un programme "idyllique". Mais restons positif, le plus important est que je puisse guérir. Prochain entraînement samedi soir, nata en lach, avant mon dernier entraînement un peu chostaud, un encaînement vélo chourse a pied avec de l'allure, dimanche aprèm. 

Alors pour aborder Roth dans de bonnes conditions, j'aurais eu le loisir de chompiler pour ma prépa "spé", c'est à dire depuis le 13 avril, tiens, également date de ma reprise sportive après quelques mois d'interruption: 233 heures d'entraînement, placés comme suit :
2h05 (Oui, j'ai chommencé un dimance)-  21h15-20h30-17h05-18h05-19h05- 23h35-17h10-24h-16h25-22h15-17h05-14h30 .
Enumération de ciffres qui bien sûr, n'a absolument auchun intérêt, puisque qu'auchune précision quand a la répartition de la volumicité. 
C'est bien évidemment a vélo, que le travail le plus important a été fourni avec un total horaire de 165h15 pour un bilan kilométrique de 4590 km. 
La natation a été pour le moins irrégulière, mais malgré tout plus importante que lors de mes 2 dernières prépas et ce, pour diverses raisons : 50h35 passer dans l'eau pour parcourir 148 km.   
A pied, j'ai testé une nouvelle méthode de prépa. J'ai absolument tout misé sur la ... fraîcheur ! Des ciffres pantagrueliques chomprenant l'aquajogg et le footing : 17h10 d'entraînement pour courir 98.50 km (sans l'aquajogg évidemment). 
A la fraîceur de ma prépa sur laquelle je chompte pour le marathon, sera adjoint des forces comme : la mémoire chorporelle (c'est pas possible qu'il est tout oublié merde, depuis le temps que je chours !!!), l'expérience, puisque déjà 2 marathons IM  a mon achtif ( tous sub 4h... hannnn, t'ain, je suis dans la merde ! )  mes qualités naturelles de choureur... (ces 3 petits points suffisent a donner toute la portée de la phrase précédente) et bien sûr un mental de killer, puisqu'il ne faut pas oublier que la douleur n'est qu'une information transmise au cerveau et que, ça tombe bien, je n'ai pas de cerveau.



Bref, autant, j'étais chontent de mon début de prépa dans la gestion et la planif, autant depuis 3 semaines, ça devient difficile de tout gérer entre différents impératifs, qui font que ma prépa se désuni et perd de sa "justesse" (au sens où je ne peu pas faire tout ce que je veux et où le placement de mes séances se fait un peu a l'arrace). C'est juste dommage et probable chause de regrets futurs malgré le chontentement de prendre part a la chourse. 

Mais tout n'est pas négatif. La course, ce n'est pas que la course, c'est la prépa aussi. Qu'en retenir ? séquence nostalgie, j'ai envie de dire.

Ce sont les sorties vélo alone ainsi que les séances nata tout seul comme un Rémi.
C'est le diabolo citron a Bormes les mimosas en bonne compagnie 
Ce sont les BTD avec le club.
Ce sont les rendez vous médicaux qui ont parsemé l'ensemble de la prépa.
Ce sont les "Nan papa, tu vas pas faire du véloooo, tu restes avec moi !" de la cracotte.
Ce sont mes chronos nata d'il y a quelques semaines (et d'aujourd'hui ?? )
C'est l'incertitude qui donne encore plus de saveurs.
Ce sont les regards interrogateurs, critiques et pleins de jugements de certaines personnes sur mes choix de vie.
C'est la sortie de 7 h.
C'est la motivation a ne pas renoncer.
C'est le pomme-cannelle de Martine.

Et le meilleur est encore a venir... j'espère  :o)


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29 juin 2008 7 29 /06 /juin /2008 10:39
Mon dernier cycle de travail important en terme de charge s'en est terminé depuis jeui soir. Alors cela devait être le plus chargé, mais en fait non, la faute a plusieurs empêchements ici ou là qui m'ont empêché de faire ce que je souhaitai. Moindre volume, faible régularité et homogénéité dans la charge. Bon, ce n'est pas bien grave, ce qui est fait est fait, il ne faut rien regretter. J'ai tout de même pu m'en sortir en mettant une ou deux journées bouboutesques, c'est a dire longues et dures (mouarf, j'adore les blagues fines ;o)

 

Je fini aujourd'hui même avec 3 jours très souples pour bien souffler car m'étant enfilé 2 journées de plus de 6h en 5 jours. Et ça, avant de partir pour la dernière ligne droite de 2 semaines censée me permettre de garder mes aptitudes physiques au niveau où elles sont (au top, of course) et mettre mon niveau de fatigue au plus bas.

Par rapport à mes 2 derniers IM, j'aborde la fin de la prépa un peu différement. Je teste un peu, sachant que mes 3 prépas ont été toutes les 3 été complétements différentes, c'est difficile d'en tirer des conclusions et de se servir des expériences, erreurs et réussites passées. Le mieux est encore d'écouter son corps et ses envies, et d'avoir confiance en ses choix, même si jusqu'alors, ça ne m'a pas vraiment réussit sur cette distance.

Un poin sans T :

Mais oui enfin ! Ca fait un ptit moment que je ne vous avais point embêté avec mon bassin, psoas et autres problèmes pubalgiques. Et c'est normal ! D'abord parce que je n'écrivais plus (alors évidemment, ça va être dur d'en parler) et ensuite parce que c'était en cours de soin. Donc un bref résumé des derniers acts (facturés ou non)

- Vers la fin de mes séances de kiné, j'ai obtenu le droit de tester la course a pied :
Part 1 : 30' petite douleur qui apparaît disparaît en cours de footing, c'est normal, continu qui dit mon kiné.
Part 2 : 45' idem                             //                                              //                                          //
Part 3 : 30' après le vélo, idem.   //                                              //                                          //
Fin des séances de kiné
Part 4 : 40' après le vélo, grosse douleur qui apparaît et ne disparaît pas  :o(

Donc petit tour chez mon doc pour :

1 : Savoir si il y a du mieux.
2 : Savoir si je vais mourir dans d'atroces souffrances pendant le marathon de Roth.

1 : Oui, il y a du mieux. Mon psoas droit est complétement détendu malgré la douleur. Seul le gauche fait encore des siennes. Grosse au mode eau, ma hanche droite est bloquée (moindre amplitude articulaire en rotation interne que la gauche). Mon psoas gauche est tendu pour je ne sais pas quoi faire et quand je cours, le droit se contracte pour compenser et ça fait mal. Le vélo n'a absolument rien a voir la dedans, premier ouf.

2 : A ma question qui est de savoir si il est de bon ton de faire un marathon comme ça, mon doc me répond par une autre question :
"Imagine sur un tri LD tu tombes au début du vélo, tu as tout le côté gauche en sang, tu continues ?" ( NB : c'est le médecin du tri de VdR qui m'avait soigné a l'arrivée de 2004 où je m'étais gamellé comme une merdasse au début du vélo)  



Gnark gnark !!! On c'est compris mon coco ! Je vais démonter du teuton !!! 
Mais c'est quand même pas ça que je voulais dire :  ce n'est pas : est ce que je peux le faire sans entraînement, c'est "est ce qu'il est raisonnable de le faire avec cette pathologie"  (Je simplifie la réponse ) :  "Vas y fonce, il ne peut rien t'arriver"   ^^

Donc, direction le rendez vous de la dernière chance chez l'ostéo pour me débloquer la hanche source de tous mes malheurs et être ainsi en pleine possession de tous mes moyens pour niquer du chleuh. Sinon c'est pas grave, j'en dépouillerais un peu moins.

Un point forme subjectif :

En nata : je suis assez content. J'ai de bonnes sensations les temps sont bons... en bassin. Je n'ai, hélas que peu l'opportunité de nager en lac et c'est bien dommage.

En vélo : je me sens pas mal, comme dit sus articlement, pas de compteur, de polar... c'est donc a la pression du vent exercée sur ma tronche quand je roule. Les sensations sont bonnes. Si j'essaie d'être objectif c'est moins bien. Plusieurs fois, je me suis allé me faire petit parcours (pas facile non plus) effectué en 30' a allure IM. De tête comme ça je me suis dit bon, il doit faire a peu près 17km. Hier, vérification sur openrunner et verdict... a peine plus de 14km  :o((  J'ai du oublier un bout du parcours sur openrunner.  Ouai, ça doit être ça  :o/

En càp : Courir à 11/12km, ne me pose aucun problème pendant 40'. Physiologiquement, même après le vélo ça passe bien. Par contre musculairement...

Dans le prochain article, je vous parlerais de Jessica Lange, de nostalgie, de Teutonie et de chiffres. OUhhhh, je vous sens impatients !

A+

P.S : Je n'ai rien contre les allemands, il font de la très bonne musique  (o;


 
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13 juin 2008 5 13 /06 /juin /2008 22:16
Oui, je sais ça fait une plombe que je n'ai pas mis un mot sur le blog. Mais que voulez vous, "Time is running out". J'étais, suis et vais être over booké pendant encore un petit moment. Mais dufait d'une pression sociale trop importante, je prends le temps, ce soir, de prendre quelques minutes pour assouvir votre soif de voyeuriste sur ma personne. (Bande de petits voyous  ;o) Aller c'est pour vous, c'est cadeau !



Bientôt 3 semaines donc que je n'avais pas écrit et qu'est ce que c'est t'y qui c'est t'il donc bien t'il passé dans ce laps de temps si précieux ? Et bien sportivement, j'ai fini mon 2ème cycle de travail de 11 jours et ai également fini mon cycle récup de 4 jours ce soir même. 
Durant ce cycle, pas mal de vélo là encore, mais comme je n'ai point de cardio, gps, compteur et autre gadget alliénatif, je ne sais quelle ampleur donner a d'éventuels progrès. Avec environ 850 km en 11 jours, si je ne progresse pas, j'ai envie de dire euh... bah... tant pis.

En nata, je n'ai point beaucoup nagé, très peu fait de séries dures (juste de l'intensité que je nommerai "soutenue" ;o) Et je pense pourtant ne pas être trop mal, en effet, je crois avoir nagé 4'58 au 400 en grand bassin a l'entraînement vendredi dernier, en plus avec de très bonnes sensations. ("Je crois" parce que ça me paraît, comment dire... non pas impossible, mais en relative inadéquation avec l'entraînement du moment. Alors, soit j'ai mal entendu le coach, soit je suis... très doué. Mais on m'aurait demandé le temps que je pensais avoir fait a la fin du 400, comme ça aux sensations, j'aurais dit 5', donc ce n'est pas improbable). Bref, cela laisse augurer de bonne chose pour la suite. 

A pied, a quoi jogging 2 fois par semaine. Et attention, je tourne en moins de 5' au tour de bassin (soit 80m) ! Meilleure perf en 4'40. Ca va envoyer du lourd a pied les cocos ! Non ? Ah, bon. 
Et attention, mardi dernier, j'ai eu l'insigne honneur de chausser mes runnings pour 10 tours de terrains de foot ! Et en plus a la demande de mon kiné ! Alors je devais les faire dans le sens des aiguilles d'une montre pour ne pas solliciter mon adducteur droit et c'est dommage, je me suis gouré, j'avais compris l'inverse. Donc ça c'est fait. 
Mais dimanche j'ai le droit de réessayer et même d'en rajouter un peu. Truc de guedin !  Par contre les cuissoux ont pas trop apprécié quand même. Musculairement c'est autre chose que le vélo  :o(


Alors, petit aparté, plusieurs personnes on l'air décontenancées et me prennent pour un inconscient voir un débile en apprenant que je vais courir le marathon de Roth sans prépa ( en plus en moins de 4h  :o)). Certes, je peut le comprendre. Mais il faut également comprendre que je suis (sans vouloir me la péter) quelqu'un qui aime les "challenges".



Pour que je m'engage dans quelque chose (a fortiori quelque chose de contraignant) il me faut un objectif, un but a atteindre. Au début, c'était moins de 9h45. Aujourd'hui c'est impossible. Mon challenge est donc de courir et finir ce marathon sans entraînement le plus vite possible (- de 4h30 ? :o/)
De plus, je suis sûr de mon fait. Au sens, où je suis de ceux qui ont désacralisé la distance IM et qui considèrent que cette distance peut être effectuée en mode "randonnée". En ayant déjà effectué 2 fois cette distance, cela n'a pour moi, rien d'inhumain de finir cette course pour qui a mon âge et mon passif sportif. Je suis sûr de moi et je pars en sachant que je finirais, ce qui ma foi facilite grandement les choses. Rien ne sert de paniquer et de se poser des questions.

Dès demain, donc, j'ouvrirai mon dernier cycle de travail difficile et ce en compagnie de la green team a Caen pour le CLM par équipe. A mes côtés donc : NTQ, Guigui et Fdols. Manu n'étant pas de la partie pour cause de blessage, ce qui va rendre les choses bien plus difficiles ! Les cocos, préparez vos sacs a vomi on va mettre le feu a vélo !!! 



A+


 
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19 mai 2008 1 19 /05 /mai /2008 21:56
C'est parti, c'est lancé ! Wan again a bistouflaïe ! En effet, après ma préparation hivernale du mois d'avril, je suis parti pour la partie dite "spécifique" de ma prépa.

Alors premier constat, en nata, j'ai pas nagé de l'hiver et cela se voit ! La caisse n'est pas trop là et si sur des distances assez courtes, je garde la pêche, quand ça se rallonge...
A vélo, à peu près le même constat, je peux rouler longtemps, mais pas, vite ET longtemps.
A pied, je ne peux pas courir donc no problemo de ce côté.

Malgré tout, je mets toutes les chances de mon côté pour galloper comme un lapin à Roth, avec la mise en place de séances d'aquajogging d'environ 40', 2 fois par semaine.



Mouai, bof...Je ne suis pas certains de ses bienfaits, mais bon, à part faire me chier, ça ne peut pas me faire de mal, donc... En plus,  petite muscu des mollets pour éviter les crampes dès la pose des pieds au sol, et... c'est tout pour la course à pied

A vélo, toute ma prépa repose la dessus. Bien que je ne suis pas sûr que le jour de la course, ce soit l'épreuve sur laquelle je passe le plus de temps  :o/  A vélo donc, l'allure de course et le travail d'endurance/force seront les principaux axes de travail de ces prochaines semaines.

En nata, il va falloir que je me mette un peu plus a l'eau



Il faut que je nage plus, c'est un fait (je me suis d'ailleurs concocter une petite séances de 7 bornes en 2h15 vendredi soir qui ma foi, fut bien agréable). Il va donc falloir que je dégage des crénaux et que sur ces dits crénaux que je mette un peu de spé IM. 

Alors, vous aurez pu remarquer les guillemets qui entourent le mot "spécifique" au début de l'article. Tout ça pour dire, que j'ai décidé de ne pas trop me prendre la tête pour ce qui est de l'entraînement, car étant donné que je ne peux viser la course de ma vie, je vais faire ça à peu près au jour le jour, aux sensations et surtout au plaisir qui sera le leitmotiv du 14 juillet (même si je vous l'accorde la notion de plaisir est fortement, en tout cas pour moi, corrélée a la performance).
Alors attention, cela ne veut pas dire que je ne vais pas m'entraîner, mais juste que comme pour Sherborne, cela se fera a la wanagaine.

Bref, j'ai malgré tout ébauché une petite planif. Grosso modo : 3 cycles de 11 jours de travail, entrecoupés de 4 jours souples puis 2 semaines et demie de "tapering" (c'est pour me la péter et contraster avec la partie de l'article où j'ai dit que je me préparais a la wanagain :o)) . Avec bien sûr comme axe de travail principal, la vélocipédie. 2 compètes viendront égayer le tout, et me faire garder le contact avec les parcs. Dimanche prochain : le sprint CLM de Compiègne, puis le 15 juin, le sprint CLM de Caen. Ca va saigner du nez.

Là, je suis donc en plein cycle de travail avec du vélo en veux tu en voilà (ne pouvant courir, je ne crois pas avoir déjà autant rouler).



Un cycle qui se terminera donc après le sprint de Compiègne qui s'annonce comme un grand moment de solitude au regard de ce que vont être mes jambes, je jour J. Ca va être trop cool !   :oD

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12 mai 2008 1 12 /05 /mai /2008 22:49

Je suis en pleine semaine de récup. Après un premier gros cyle de travail de 4 semaines censé me donner la caisse, j'en profite pour assimiler le travail vélocipédique effectué et recharger les batteries. Encore 3 jours et je repartirais a l'assaut de mon objectif motivé comme jamais. 

En ce moment donc, sortie vélo pépère, nata en lac avé le topains, de quoi parfaire mon bronzage de "triathlète". 


Et là, vous vous dites, "Oh, bein ça  a l'air bon, il peut s'entraîner''.
En effet, mon rendez vous chez le kiné de vendredi dernier était censé me guider sur le oui du non et le comment du pourquoi du éventuellement.  

Bref, je m'en sors bien ! Après quelques étirements, électrostim, vient la question qui tue, insidieusement posée : "Hum et euh... durant les soins est ce que je peut pratiquer une quelconque activité sportive ou euh..."  (Vous remarquerez que le sens de la question est légèrement incitative a une réponse positive).
"Oh, bah de mon expérience avec les footeux, ça change pas grand chose de s'arrêter complétement, alors..."
"Ouai, d'accord"
"Alors tu cours pas, mais tu peux faire du vélo, tu peux nager, mais faut que ça reste dans le raisonnable"
"Ouiiii, bien sûr !"

J'ai pas osé lui direque la veille j'avais fait 7h de vélo. 

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1 mai 2008 4 01 /05 /mai /2008 21:49
"1er mai passé, Roth de faire tu es obligé".
Et bien voilà, "alea jacta est", les dés en sont jetés. Soit je fais Roth, soit je me fait entuber de 300€. Vous connaissez la loi du "tout ou rien" ?
Pour l'instant, je suis parti sur la première option. Rendez vous est pris chez le kiné dans une semaine. On va voir ce qu'il va pouvoir me dire. Mes doutes : 2 séances de kiné par semaines et qu'il me sorte a chaque fois "Bon, là tu fais rien pendant deux jours." Auquel cas, je serais bien *****. Ou pis encore : "Nan, mais là pendant la durée des soins, faut que tu t'arrêtes complétement".  8-O

Mais bon, pour l'instant point de tout ça, je profite de l'autorisation du doc, pour envoyer la sauce à vélo. Pas encore de quoi passer le mur du son, mais au moins d'atteindre mon objectif vélocipédique Rothien.



Je suis dans ma 3ème semaine de reprise et de prépa en même temps. Un bref résumé pour les amateurs de chiffres :
Semaine 1 : Dans le Verdon, 21h15 d'entraînement dont 18h15 de vélo. Le reste de càp. Pas de nata, avec en point d'orgue, une grosse journée bike avec Nick.
Semaine 2 : A MSA city, 20h30 d'entraînement dont 14:35 de vélo. Le reste de nata. En point d'orgue, une grosse sortie club avec un ptit chrono sur 57/58 km avec variations d'allure, en 1h36 ( 50' a l'aller, problème de boussole-46' au retour)
Semaine 3 : 3 jours de récup en début de semaine,16h15 de prévu dont environ 12h de vélo, le reste de nata. En point d'orgue sortie longue à vélo aujourd'hui de 5h35 avec Nick et Fred avec un peu de rythme, 34-35 km/h, pas plus...    8-/
Je continue pendant encore une semaine sur ce rythme avant de prendre une vraie bonne semaine plus souple, après ma première séance de kiné.

Alors oui, c'est une reprise un chouilla costaude, a fortiori pour quelqu'un de blessé. Mais au point où j'en suis, j'ai enlevé le mot "compromis" de mon vocabulaire, comme le mot "entretoises"  :o) 
Bref, ce n'est pas le temps de l'analyse de la situation.


Thom Yorke - Analyse

Prends ça dans tes oreilles mon coco !

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20 avril 2008 7 20 /04 /avril /2008 10:33

Ahhhh, le soleil, les températures prochent de l'exotisme, qu'est ce que cela fait du bien. Enfin, c'est le souvenir que j'en ai d'il y a quelques années. Car même si ce n'était pas un temps pourri, c'était pas non plus la canicule. Bien la peine de descendre dans le sud pour ça.
Je suis donc de retour de mes vacances dans le ... Verdon. Vous savez les gorges, là où il devait y avoir l'homme de fer. (Alors là, il y a plusieurs solutions : soit vous vous dites, "Oh, mince, il s'est déplacé pour reconnaître le parcours pour rien"), où alors : "Mouarfff, le con, il est descendu comme un boulet là bas pour rien" Ca ça dépend de votre mentalité. Mais dans tous les cas, point de regrets sur le choix de l'endroit, ce dernier est juste sublime. A fortiori pour qui pratique la vélocipédie.



Un point négatif malgré tout pour le logement. Nous avions loué pour une semaine via une société qui s'appelle "tchutchut pas de pub" chez qui nous étions déjà passé pour le Jura, à notre plus grand bonheur, mais là, moins bien. Disons compendieusement (huhuhu) que, dans la salle de bain, l'on pouvait à la fois, effectuer un larguage fécale tout en opérant un lavage cappillaire dans le lavabo. Lavabo qui malgré tout, avait son attrait, puisque après chaque utilisation, le bouchon de ce dernier, nous gratifiait d'un petit sourire différent. Ici, le petit clin d'oeil :



Mais trève de blabla, trève de blabla, trève de blablaaaaaa. Accroche toi public, tu vas t'évadeeeeeer ! (Et non, contrairement aux apparences je ne suis pas allé voir le film de Danny Boon, j'ai un peu de personnalité. Mouarf, et tu casses !  ;o)


Je m'étais certes rendu là bas pour reconnaître le parcours de "l'homme de fer" initialement prévu, mais finalement annulé, et c'est donc dans l'optique d'une remise en forme que je decendais dans les gorges. Alors dans ma tête c'était : "On fait comme si". Comme si je n'avais mal nul part, comme si j'avais suivi une préparation hivernale normale. Alors, j'avais bien pris ma combie de natation au cas où, éventuellement, un microclimat avait sévi sur le lac les jours précédents mon arrivée. Mais non, l'eau aussi acceuillante avait elle l'air, était aussi froide que l'humeur de Madame Bouboute en cas de rentrage vélocipédique trop tardif.
Donc pas de nata. Ca c'est fait  :o/   
Par contre du vélo ça oui. Paré de mon P3c, j'étais décidé à arpenter les gorges.
Un peu de càp ici où là dans la mesure des possibilités possibles.
Je commençais donc prudemment, avec 2 heures à 2h30 par sortie vélocipédique. Premier constat, la DDE sudiste, ne connait pas le concept de la ligne droite. Pour ce qui est à 300m à vol d'oiseau, il faut faire 3 bornes. La première sortie càp, elle, se soldait d'un début de douleur au bout de 30' dont je fit fi pour courir un total de 40'. 

Bref, je commençais tranquillou. Et puis... le drame... mardi après midi, direction 150 km plus au sud pour rejoindre la Nick family.


La cracotte avait senti le truc et nous gratifiait d'une "PH touch" dans la voiture. Arffff !
A peine arrivé, je chaussais les runnings et partait pour plus de 45' sans douleurs sur un chemin tout a fait adapté a ma pathologie (une montée, une descente). Le lendemain, une sortie vélo est prévue. Heureusement que je suis passé par l'Iron Nick Organisation. Une sortie vélo en 2 acts, dont le deuxième me sera fatal. 1er act : 3h35, puis une pause déjeuner "sous le soleil" (à St Trope) et sur la plage, puis 2ème act : 2h30. Soit un total de 6h05, 160km et 2100m de dénivellé si je ne m'abuse. C'est peut être un détail pour vous, mais pour moi ça veut dire beaucoup. Donc le début, bien, puis après, obligé de péter ma chaine pour récupérer un peu, de faire genre, "je sais pas descendre les cols" pour souffler. Un sandwich de trop le midi et mon sang qui hésite entre tous les organes nobles de mon corps  (où qui ne les trouve pas) et je fini en hypo. Bref, une très très bonne sortie qui en plus de me faire découvrir la côte azuréenne aura eu le mérite de faire doubler mon VES.     

De retour dans les gorges, je ne m'en laisse pas compter et m'en tiens à mon plan intial qui veut que je sorte le vélo tous les jours. Donc 1h30 souple, plus 40' à pied derrière, toujours sans douleur. Vendredi, dernier jour sur place, dernière sortie : 3h10. Je remonte une dernière fois à la Palud, puis à Rougon au dessus du Point Sublime comme un dernier pélerinage.


Puis rangement/préparation... le tout sous une pluie battante, comme pour pleurer notre départ... comme un prémice à notre retour en Normandie. (T'ain, c'est beau, snifff, j'en chialerai presque. Non je pleure pas, j'ai une poussière dans l'oeil. )

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4 avril 2008 5 04 /04 /avril /2008 22:22
C'était pourtant pas dur de s'en rappeler, non d'un ptit bonhomme en mousse ! Mercredi dernier donc, je descends à Rouen pour me rendre chez l'ostéo. Jusque là RAS. Je m'installe dans la salle d'attente. RAS. L'ostéo rentre dans la dite salle pour demander à une de ses patientes de le suivre. En me voyant, je vois qu'il tilte. Là, je me dis dans mon moi même intérieur qu'on peut pas entendre si on est pas moi "Hannnnnn, meeeeeerde". Et en effet, après une bref recherche dans son carnet, ce n'était pas ce mercredi, mais le lundi précédent que j'avais rendez vous. "Hannnnnnnn, mother fucker ta mère !" (Ca aussi je me le suis dit dans mon moi même intérieur qu'il n'y a que moi qu'il entend, sauf si évidemment vous êtes télépathe, mais là, j'ai des doutes). Je reprends malgré tout rendez vous pour lundi prochain.

T'ain, des fois je me dis que je suis un bon gros boulet.

(Mais tout de suite après, je me dis que non et que j'ai déjà de la chance d'être moi. Nan, parce que j'aurais pu être quelqu'un d'autre et là, ça aurait pas été cool pour moi de ne pas l'être (moi). Mais pour l'autre, ça aurait sûrement été pas mal de ne pas être lui mais d'être moi. (Des fois, je me fais des boujous dans le miroir   :o)


Bref, en attendant de retourner le voir, je tente de continuer ma reprise (en fait, j'ai l'impression que depuis que j'ai commencé le sport, je suis en éternelle reprise, je pense que c'est d'ailleurs pour ça que je n'est pas le niveau de performance que je devrais avoir et que je n'ai pas encore pu passer le cap du professionnalisme, mais trèves de disgressions entendu d'avances, je m'éloigne du sujet), et le résultat ne c'est pas fait attendre. Le jeudi c'était fait, au bout de 33' de càp, ma douleur revenait. Conforme aux précédentes rechutes dans ses délais : une dizaine de jours après la reprise, qui m'avait pourtant amener un niveau physique que bon nombre d'entre vous m'envierais, huhuhu. Oui, je parle pour toi jeune gringalet qui s'entraîne tant que faire ce peut !

http://forumbdb.free.fr/ridicule/ridicul4.jpg

Prise de décision : Je vais retourner voir une dernière fois cet ostéo avant d'aller changer de crémerie une énième fois. Pour ce qui est de ma prépa, je ne peux me résoudre a faire une saison blanche (nan, parce que là, tel que c'est partie). Etant constaté le fait que l'arrêt total ne change rien a l'affaire, étant constaté que l'entraînement ne change rien a l'affaire, je prend la décision de : continuer a nager et a rouler sous certaines condition. Je stop la càp, étant entendu que c'est celle ci la plus traumatisante.
Pour ce qui est des compet. Je compte bien participer aux tris par équipe avec la green team, tout du moins jusqu'a la pose du vélo. Pour Roth, je pense (j'espère) rester inscrit jusqu'au bout, prenant le pari qui peu paraître incensé, d'être en état de courir d'ici là (En fait, il m'est impossible de m'entraîner sans objectif) et si ce n'était pas le cas (et que je ne suis pas désinscrit d'ici là), bah... je marcherais vite  :o/ 

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L'auteur.

Né à l'âge de 2 ans en 1912. Boubou eu 5 ans en 1937, et très vite il comprit que sa destinée était de dominer le monde et de manger des Tuc. Dès lors, avec force et abnégation il s'astreignit à un travail de tous les jours afin de mettre en place son vil et sournois stratagème. Hélas, il mourra avant que la mission de sa vie ne s'accomplisse, puisque c'est dans un incendie en sauvant 7 personnes d'un immeuble en flamme qu'il rendra l'âme. C'est con.

 

Présentation du receuil de textes

 

"Le triathlon est un sport où à la fin il arrive toujours un truc à Boubou". C'est ainsi que fut défini le triathlon par les infirmières de la clinique du Cèdre. En effet, fort d'une physiologie, d'une génétique et d'une volonté hors du commun, Boubou à cette particularité de ne jamais pouvoir donner la pleine mesure de son talent.

Pour autant, d'inénarrables aventures vous attendent, de la violence, du sexe, du sang, de la gloire, de l'érotisme, de l'humour, du suspens, du stupre, des cours de médecine et bien sûr des performances fantasmagoriques (ainsi que des fautes d'orthographes).

 

Alors évidemment, il ne s'agira pas non plus de vous écraser en vous racontant ma destinée, le contraste avec vos mornes vies vous ferait paraître bien miséreux, non, son but est juste de vous en donner un petit aperçu qui soit suffisament parlant pour que vous puissiez à la fois vivre ma vie par procuration et que vous vous rendiez également compte que le gars qui est derrière ce blog n'est pas le premier venu... mais plutôt le premier arrivé.

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