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20 juillet 2011 3 20 /07 /juillet /2011 15:31

Sitôt relevé, j'ai pesté, ramassé mon vélo, vitupéré, et fini de descendre à pied en fulminant, ne portant que peu d'attention à ce dernier, ayant déjà en tête l'idée que je n'étais pas prêt de remonter dessus.

En effet, c'était là l'arrêt de ma carrière de triathlète.

 

Les 2 jours suivants ne changeaient rien à l'affaire, mon esprit venait de muter et il semblait déjà ne plus être triathlète.

 

Bon c'est con, parce que j'ai l'impression de n'avoir jamais pu faire d'IM pleinement. Après Sherborne, préparé en 7 semaines après 2 mois pratiquement off, après Penticton où j'ai vraiment chié la prépa et la course et après Roth préparé avec 3x 40' de footing, j'aurais bien tenté la course avec prépa complète et adaptée. Mmmmh.

 

Oh et puis c'est con, j'avais oublié que je voulais faire le Norseman. Mmmmh.

 

Le doute s'insinurait-il ?

 

3 options s'offraient alors à moi :

 

- Option 1 : La plus facile, je revends tout, j'arrête tout, à moi la tranquilité, le gain d'argent, l'apéro et l'ennui. Changement radical de style de vie. Pour autant, peu probable que je supporte ça très longtemps, d'autant que ce serait dommage de gâcher. Gâcher ce talent, gâcher tout le travail effectuer ces dernières années, ce travail pour devenir en quelques années, cette torpille humaine dans l'eau, ce pur sang à running, ce culbuto à vélo, bref l'celui que l'on pourrait considérer comme l'homme ultime.

 

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- Option 2 : Je change de sport, je revends tout, à moi les trails, les marathons, les "long mother fucking runs", l'argent. Première idée qui est venue à mon esprit et très tentante, tant il y a de choses à faire, à découvrir et de reins à péter dans cet univers.

 

- Option 3 : Je m'octroie une ultime tentative dans le monde du tri. Par curiosité, juste histoire de voir jusqu'où la malchance peut aller, jusqu'au l'irréel peut être réel. Est ce que la passe de 4 est possible ?  Nan parce que si j'arrête là, je ne saurais jamais si j'étais capable d'aller au niveau ultime de la malchance. Et alors a moi la perte de temps, la perte d'argent, les risques. Une sorte de "quitte ou double" de mon avenir triathlétique.

 

Voilà où j'en suis de mes interrogations sportives et c'est sous ces doutes qu'est enfoui l'avenir de ma carrière sportive, auquel je laisse le temps de ma convalescence pour se dessiner. 

 

En attendant, cet ultime moment que vous ne manquerez pas de suivre dans un prochain numéro du Bouboublog, je glande. Chez moi pour l'instant, et en vacances bientôt.

 

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4 juin 2011 6 04 /06 /juin /2011 18:46

Après le double effet kiss cool dans ma face du à l'annulation de 2 LD de mon programme, j'ai eu du mal a avaler la pilule. Conséquence 1 : 1 semaine off. Rien pendant une semaine. Pas content, pas motivé, j'en ai pas touché une. Conséquence 2 : Refaire ma prog de compète et de prépa.

 

Le temps que je digère tout ça, j'ai donc tenté de rebondir pour mettre un nouveau programme de course à jour, une nouvelle planif, quelque chose en place qui tienne en haleine les fans et les spectateurs avides de nouvelles aventures toujours plus improbables les unes que les autres.

 

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Et ce fut dur. Partant du principe qu'Embrun serait le point d'orgue de ma saison, il fallait que je trouve quelques courses de prépa, qui, en plus de tomber bien dans ma prog, devaient aussi tomber bien pour mon taf et les congés que j'avais déjà réservés, moyennant un petit coup de boule à mes collègues. Bref, tout était à refaire.      

 

Alors après moults études de faisabilités, analyses calendaires, farouches négociations, voici ce que devrait être la suite de ma saison 2011 (notez le conditionnel qui fait maintenant parti intégrante de ma sémantique).

 

11 Juin : Compète en eau libre à Jumièges. Just for fun, pour voir ce que ça fait de ce geler les miches sans combie pendant 3000m.

 

26 juin : Tri CD de Fains. Pour refaire un peu de rythme et voir si mes manivelles tiennent sous le coup de mes relances dans les côtes (Avant Embrun c'est à tester).

 

11 au 17 juillet : Stage "cassage de coccyx" à Embrun histoire de reconnaître le terrain. Le tout avec la green team qui concourera le 15 août. 

 

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27 Juillet : Tri LD de l'alpe d'huez. Pour ce faire une petite compète spé avant Embrun. Bon, c'est peut être un peu tard par rapport à Embrun, mais la valeur n'attend pas le nombre des années, (?) et puis je voulais me frotter un peu à l'élite mondiale afin de prendre un peu mes repères et leurs en donner par la même occasion. (Je ne voudrais pas que l'on mette toute ma performance Embrunesque sur l'effet de surprise).  

 

15 aout : Embrun. Pour écrire l'histoire. Pour la rencontre de deux mythes...

 

Voilà les prochaines échéances sportives de Boubou. Mais avant cela, il va sérieusement falloir se remettre en forme car, après une semaine à ne rien faire et 3 semaines sans càp (hormis 10 bornes à ponto), il s'avère que la vacuité à de très mauvais effets sur moi. Preuve en est ma reprise vélo de lundi ou encore cette pathétique séance nata de mardi qui m'a ramenée quelques années en arrière lorsque je commencais à nager et que je tentais d'aller vite.

 

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27 mai 2011 5 27 /05 /mai /2011 17:45

Une vent de déception s'abat sur moi comme les Black Sabbath de base ball.

 

En effet, dans un élan de bon sens et de sérieux qu'on ne trouve qu'en de très rares occasions chez moi, je décidais après 2 jours de turpitudes, de déclarer forfait à vendôme. Les raisons ne sont pas moults. Il n'y en a qu'une, ma plaie. Je ne pouvais prendre le risque de gambader 20 km (fusse à 17 km/h) avec un talon toujours pas scellé et risquer de voir ce dernier se réouvrir et ainsi repartir pour x semaines d'arrêts. Pour la suite de la saison et pour mon boulot, ce ne fut pas sérieux. Ce faisant cela me permettait de plus, d'effectuer une prépa un peu plus correcte et complète pour Guerlédan, qui se devait d'être la course où j'allais enfin montrer à la face du monde tiathlétique qui j'étais. En plus de rencontrer quelques copains Pasta.

 

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Mais voilà, alors que mercredi je rentrais le moral dans le slip après ma décision de faire un DNS à Vendôme, voilà qu'a gré de mes périgrinations interne Etienne, j'apprends que Guerlédan est annulé. S'en est trop, j'hurle à la mort, je me lacère la poitrine, je m'éclate la tête contre celle d'une fille qui passait par là. RHHHHHHHHAAAAAAAAAAAA !!!!!!!!

 

C'est un véritable deuil que je dois faire à présent. 

 

Pour ce faire j'utilise un remède de choc au lat. Après 500gr mangé  ingurgité en très trop peu de temps, je tente de digèrer la déception, mais le chocolat ça constipe.

 

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Avec mes 2 LD d'annulés dans la même journée, c'est dans un véritable état d'abatement que je me trouve, aucun entraînement dans la semaine, aucune motivation, aucun objectif à court ou moyen terme. 

Alors j'ai bien tenté de regarder dans le calendrier des tris afin d'y trouver quelques substituts, quelques suppléants. Mais rien qui ne fasse véritablement envie. Une petite idée tout au plus, par la force des choses.

 

Alors voilà, j'écris un peu cet article pour évacuer la frustration qui est mienne, pour vous faire partager mon désarroi, pour vous faire connaître ma haine de ces grosses tarlouzes en moule burnes sur bicyclettes qui m'empêchent de faire mon tri !!! ENCULEEEEEEEEEEES !!!!

 

 

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7 mai 2011 6 07 /05 /mai /2011 20:14

Précédemment dans le Bouboublog :

 

Boubou a connu une légère déconvenue à St Pierre des Fleurs, parti à Mende pour un stage intensif, Boubou espérait bien améliorer un peu son niveau triathlétique général. A l'approche des premiers triathlons il espère avoir la truffe humide et le poil brillant pour ainsi être à la tête de la meute d'enragés qui se retrouvera sur les lignes de départ. Boubou arrivera t il a ses fins ? Connaitera t il enfin la gloire, le succès, et les femmes à poils à l'arrivée des triathlons ?  

 

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Après cette formidable introduction digne des plus grands soap-opera (qui comme tout le monde le sait s'appellent ainsi car à la création des ses séries qui visaient un public féminin, les principaux annonceurs étaient des marques de lessive ("soap" en anglais) C'était la séquence culture générale de l'article), voici la suite de mes formidables aventures à une semaine du début de mon triptyque : Evreux, Pont-Au, Vendôme.

 

Une fois rentré à MSA city et avant de repartir pour un ultime cycle de travail avant mes 3 compètes, je m'octroyais quelques jours de semi repos afin d'assimiler le travail de la semaine Mendienne. Ce qui fut fait en glandouillant beaucoup et en suant un peu.

Mais à peine le temps de laisser se morfondre l'organisme dans son état ataraxique que déjà je lui demandais quelques efforts qui le sortait de sa semi léthargie. En effet avait lieu dimanche dernier le double petit triathlon sauvage Made in MSA Tri by Jéjé. Je m'y rendis à l'arrache.

Première étape, le triathlon super sprint : Avec des distances approximatives de 400m de nata, 9.3 km de vélo et enfin 2.4 km de càp.

Deuxième étape, le duathlon super sprint : Avec de vagues distances de 800m de càp, 9.3 km de vélo et enfin 2.4 km de càp.

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Bon, si j'avais su que j'allais oublier mes pompes de vélo, je ne serais sûrement pas venu. Mais cela, il eu fallu que je le sachiasse avant et hélas je ne le susse pas. C'est donc sur place que je me rendis compte que je n'avais pas mes "LouisGarneau burn the fucking road". Arfff, tant pis je suis un adepte de la flexibilité, je baisse la selle de quelques mm et mes "Green silence of death" deviennent pour l'occase mes pompes vélo.

Peu à mon avantage sur la partie nata, je ne pourrai faire la différence sur mon Vélociraptor (Les speedplay, c'est vraiment tout petit comme pédales) et sors malgré tout un petite épingle du jeu à pied.

 

15' après, je me montrais à mon avantage sur le duathlon où je signais ma première victoire et où je terrassais sans coup férir TomTheButcher d'une dizaine de secondes dans la tête. (Nous tairons le fait que l'on partaient  en poursuite et que Tom avait 45" de débouboure sur moi et qu'il a déraillé sur la partie vélo). Rien à foutre, sur ce coup là, c'était moi le patron:o)

 

La semaine qui suivie fut toute aussi exigeante avec des sensations qui s'améliorèrent progressivement au fur et à mesure des jours. Reste maintenant à voir si les 2 kg que j'affiche en plus sur la balance par rapport aux années précédentes, sûrement constitué d'un savant mélange de muscles (Pfff), de graisse (oui, quand même un peu) et de cal osseu (bein oui, ça commence à faire) me seront rédhibitoires lors de mes apocalyptiques run vers la finish line.

 

 

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P.S : Désolé pour le titre, je n'ai pas le talent de P. Vernay...

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27 avril 2011 3 27 /04 /avril /2011 21:53

Après ma décevante prestation de Saint pierre des Fleurs et un abattement mental qui dura une journée, je rebondissais psychologiquement et décidais de redoubler d'efforts pour la suite de la saison, et le stage la semaine à venir tombait très bien pour tenter de me maroufler les ventricules.

Direction donc Mende où quelques MSA boyz se joignaient au club de nat et se retrouvaient pour s'en mettre plein la panse. Alors je ne suis pas de ceux qui énumèrent chiffres et entraînements, néanmoins, mon honnêteté intellectuelle m'oblige à mettre les choses au clair ne serait ce que par respect pour mes futurs adversaires sur les courses. Ce, afin qu'ils sachent dès à présent à quoi s'en tenir. Alors certes cela risque de porter préjudice aux organisateurs avec une possible forte désertion de conccurents.

 

Un stage qui se fera sous le signe des 6 V :

 

- Villégiature (parce que quand même j'ai posé des congés).

- Volume (d'entraînement, pas des pecs)

- Vastes (Externes ou internes, ils ont mangé)

- Ventricules (Les pauvres...)

- WC (Pas loin d'être bouchés)

- Vitulaire (Si je peux vous apprendre un mot)

 

Mais revenons plutôt à notre stage...

 

Day 1 :

Départ dimanche matin très tôt pour la délicieuse bourgade de Mende où vont se retrouver nageurs et triathlètes de MSA. Arrivé sur place à peine le temps de se mettre en place dans la cahute et tout de suite, nata ! Alors là, je suis chaud ! 

"Elles sont où les séries ? Vas y fais péter les chronos, j'ai mis les plaquettes !!!"

"Quoi ? Pardon ? Nata light pour digérer le voyage ? Mais pourquoi ? RHAAAAAA sa mèèèèèère, chui bouillant là !!!"

 

Indice de fatigue Bouboutesque : 1/5

 

Day 2 :

Sortie vélo d'un peu plus de 3h pour se mettre en jambe et reconnaître les spécificités géographique du coin : Montées, descentes, vent. Jeff brûle directement ses 2 cartouches du stage (assez maladroitement d'ailleurs), quelques accèles au gré du parcours et déjà on est rentré dans le vif du sujet. A noter : Il semblerait que mon polygone de sustentation soit vachement plus petit quand je suis sur le vélo que lorsque je suis à pied.

A peine le temps de se mettre des pâtes dans le bide qu'on est dans le bac pour 3800m rythmés. Chui déjà moins bouillant là.

A peine le temps de se mettre un goûter dans le bide qu'on est dans les runnings pour des 1'-1' autour du terrain de rugby (Le sport pas la ville). Tiens Zizillaire est décallé, non ? Le cardio à plus de 180, les ischios raccourcis je suis déjà beaucoup beaucoup moins bouillant. 

 

Indice de fatigue Bouboutesque : 3/5 (Déjà ? Bullshit !)

 

Day : 3

Sur le vélo à 8h du mat... Hannnn, c'est nul le tri. Un peu plus de 4h avec 3x30' et beaucoup de vent (un peu moins derrière). Tandis que Guigui nous raconte ses viscisitudes de stage, je prends cher dans la couenne. 

 

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Une fois rentré je m'endors malencontreusement sur le canapé alors que je replaçais les coussins. Un léger footing de 50' tout seul l'aprèm pour placer ma foulée et ce sera tout pour aujourd'hui. Un peu déçu de ne pas avoir pu faire de nata, j'étais chaud, j'allais donner !

 

Indice de fatigue Bouboutesque : 3.5/5

 

Day 4 :

Bon là, gros morceau intensif. 7h du mat dans l'eau... Hannnnn c'est nul le tri. 1h05, 3500 m et beaucoup de rythme plus tard, on sort de l'eau et nous nous jetons sur le vélo pour de la PMA en côte. A la bagarre avec Chantrouille et Zizillaire, je me fais rôtir les vastes pendant plus de 2h. Dès que je pose le vélo, que je me relève après être tombé, que j'arrive à enfiler mes runnings, que j'arrive à me relever du chiotte sur lequel j'étais assis, je cours jusqu'au stade pour les 6x2000m r:1' (Quelle idée !) Arghhhh, transition trop lente, les autres sont déjà en train de partir sur le parcours. Je pars à leur poursuite à la "Burn mother fucking start !" et tente de les remonter au fur et à mesure des séries.  

Je finis mes 6 repétitions complétement rôti, les artérioles décalaminées comme il faut. Je taierai les temps réalisés par respect pour les gens qui aimeraient déjà bien les faire sur une répétition.

 

Indice de fatigue Bouboutesque : 4/5

 

Day 5 :   

Jour officiel de récup ! On va pouvoir souffler. Déjà nata à 9h, c'est royal.

Bon, séance de 2h et 6000m avec 4x400m taquet récup 600m. C'est nickel pour recharger les batteries. Le petit 50m chrono de fin de séance c'est juste pour s'oxygéner les tissus.

 

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L'aprèm, 2h40 de vélo souple avec Nono, Zizillaire et 2 jeunots à se coucher dans les lignes droites pour rester debout (Gné ?) à cause du vent. Une fois rentré, je suis trop fatigué pour arriver à faire une sieste en fin d'aprèm. Je me consolerais avec le barbeuc du soir, où Nono et Thib tenterons dans le noir de faire cuire la barbaque avec du Sopalin humidifié à la bière. (Ca fonctionne bof).   

 

Indice de fatigue Bouboutesque : 4/5  (Paye ta journée de récup).

 

Day 6 :

8h sur le vélo pour 5h de prévues, Emeline et son coach Thib nous ont quittés pour aller sur Nice. Une sortie d'antologie effectuée sous le sceau de "La malédiction de la route barrée".10' d'échauffement et petite mise en bouche avec la Jalabert (Le 42x23, c'est presque un peu juste). Et là, un mythe tombe en même temps que Jeff met pied à terre. En effet, quelle douleur que de voir ce double Embrunman, précurseur de la patate chaude sur Ironman et muni de son 35x40 monter cette côte à pied, le vélo à ses côtés. Et tandis que nous attendrons Jeff dans les montées, ils m'attendront dans les descentes. Et si le début de la sortie fut très difficile pour moi, j'arrivais à me refaire un peu la cerise en cours de sortie et à ne pas être loin de vomir mes cuisses dans la roue de Tom. Rentrés trop tard, je ne pourrais me permettre d'enchaîner. Arghhhhh !

 

 fake-copie-1.JPG

 

Mais je suis un psycho rigide, aussi, avant la nata du soir, je me gratifie d'un petit footing de 40' parce que c'était écrit sur la feuille. La nata du soir ce finira mal, me faisant voler la victoire de manière éhonter sur le concours de 50m.

 

 Indice de fatigue Bouboutesque : 4.5/5 (Ca devient chaud...)

 

Day 7 :

7h, dans l'eau pour la nata bien rythmée. Seuls les vrais, les durs, sont présents (plus Guigui et Tom). Le début est TRES difficile au niveau physio, néanmoins un léger regain de fit se fait en cours de séance. J'irai jusqu'à faire les 4x25m vite au risque de passer de l'état de fatigue à l'état d'épuisement.

Une heure après nous enchainons Guigui, Tom et moi pour 1h40 de càp valloné. Alors moi je voulais faire le footing simple comme Guigui, pas le fractionné comme Tom. Je me suis fais rouler. 4x30-30-6' )x4. Les puls max ? 162. lol. Plus rien dans le sac ni dans les oreillettes. Mais c'était important de le faire parce que finalement c'est là que ça paye, c'est là que le stage prend tout son sens.

 

Indice de fatigue Bouboutesque : 5/5 (banco !)

   

Je finis ce stage légèrement émoussé et pas blessé (Ca c'est cool). C'est la première fois que je franchis les 30h en une semaine (qui plus est avec autant d'intensité) et clairement, je ne le ferais pas tous les jours (surtout que c'est sur une semaine, ce serait con). Gros travail sur les cuissous, et surtout, surtout, sur les fléchisseurs communs des doigts ! (Va falloir que je fasse de la muscu spé pour Embrun). Je n'ai maintenant plus qu'à attendre la réponse (à l'entraînement ) et optimiser le travail effectué lors de mon dernier cycle de travail avant les compètes pour, d'une cuisse vengeresse, taillader à coup de paraculaire mes camarades de compétitions.  

 

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5 avril 2011 2 05 /04 /avril /2011 21:36

Oui, c'est tout bidon comme titre, mais ça me fait plaisir.

 

Je continue sur le rythme effréné de ma parution d'article, à savoir 1 toutes les 2/3 semaines. Mais que voulez vous, maintenant que je m'entraîne, j'ai moins de temps... et surtout je n'ai plus rien à raconter. Alors évidemment je pourrais énumérer ça et là quelques séries ou temps d'entraînements, mais j'essaie tant que faire ce peut, de ne pas faire dans le sensationnel et l'impressionnant mais plutôt de rester le plus sobre possible. C'est la raison pour laquelle j'évite de rentrer dans les ténèbreux secrets de mes entraînements qui font ma force. 

 

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Alors je devais laisser aller mon talent et ma verve blogesque à disserter sur l'aquathlon de MSA, mais le faire aujourd'hui avec autant de temps de latence, me paraitrait presque anachronique. Ayons le sens des priorités, parlons de choses captivantes et attrayantes, au hasard, tiens, parlons de moi puisque c'est ce WE que j'ouvre réellement ma saison.

 

Alors, contrairement à l'an dernier où j'avais pu m'étalloner sur Yvetot et Bois Guillaume, cette année pas grand chose. Je suis donc un peu dans l'expectative pour ce qui est de ma forme. Néanmoins, je pense avoir une caisse suffisante et fort de l'expérience de l'an dernier qui avait marqué au fer rouge mes cuisses et mes psoas, je compte bien mettre les choses au clair avec mes adversaires dès cette première compétition forte exigente.

 

C'est la raison pour laquelle, je tiens à informer tous les valeureux conccurents du duathlon LD de Saint Pierre des Fleurs qu'avec ce que je vais leur mettre, il vaudrait mieux qu'ils se nettoient bien la raie, sinon ça va les irriter.

 

 

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28 février 2011 1 28 /02 /février /2011 19:43

Limite j'ai plus de choses à raconter lorsque je suis blessé que lorsque tout va bien. Je suis plus prolixe et enclin a raconter mes non péregrinations que mes légendaires préparations sportives. Je vais faire en sorte d'inverser la tendance.

Alors, que c'est t-il donc passé depuis cette inénarrable soirée aquagym MSA Tri que j'ai pourtant réussi à narrer avec brio, suscitant d'ailleurs moult intérêt de votre part à en juger vos réactions ?

 

Et bien j'ai tenté de rester dans la course à la performance malgré le sentiment d'une route de plus en plus courte devant moi, d'une fin de carrière s'approchant (oui, je sais y'a pas eu de début), les 30 ans bien passés, un corps vieillissant, une conccurence toujours plus accrue, un emploi du temps assez chargé, une motivation vascillante... Oh, pas la peine de tenter de me contredire ou de me rassurer, je le sais... je le sens.

 

Alors oui, j'ai profité malgré tout cela de ma semaine de congé pour me tester. Tester, ma condition physique, mon aptitude à récupérer, ma capacité à manger un peu de volume pour compenser mon pauvre hiver et préparer une saison qui sera, a n'en point douter, une nouvelle fois invraisemblable pour la plupart d'entre vous, pauvres mortels.

 

Et puis j'ai vu que je n'étais pas encore fini que mon corps possédait encore quelques ressources bien cachés derrière une façade peu avenante.

 

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Tout d'abord, lors d'une épique séance nata, j'ai fais vomir 3 morceaux de raviolis à Chantrouille. Ah bah c'est sûr, ça le change de quand il se pignolait chez les Vikings de Rouen !

 

Puis, 2 jours après, sur ma première séance sur piste depuis 2 ou 3 ans, c'est PH et Jb qui imploraient miséricorde.

 

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Et enfin, sur une bonne sortie vélo, c'est Charles Ingalls (pourtant c'est un gaillard) qui dans les côtes, tentait veinement de s'accrocher, non pas à mes roues, mais à ma silhouette...

 

Voilà qui me rassurait quelque peu sur ma condition physique du moment malgré un hiver assez inégal. Las, alors qu'était prévu un cycle de 11 jours comprenant au moins une trentaine d'heures, je devais déclarer forfait au 9ème jour, terrassé par un retour en force de ma sinusite ainsi qu'un sévère mal aux lombaires. Mon test tournait cours.

 

Je me contentais donc de ce microcycle de choc de 27 heures en 9 jours qui m'aura tout de même laissé quelques grosses traces. 

 

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Mon corps aura-t-il suffisament de ressources pour récupérer et se remettre d'aplomb afin de me conduire, lors de mon prochain test, sur un nouveau NBR ce dimanche aux 10 km de Bosc le hard ?

Vous le saurez dans un prochain numéro de La Trépidante Boubou Way Of Life.

 

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25 janvier 2011 2 25 /01 /janvier /2011 21:40

Je vous sentais impatient ! Mais c'est ça, on est au taquet, on veut kiffer la life, on a des trucs a faire et on a plus le temps d'écrire un article sur son blog occulaire.

 

Bon en fait, c'est surtout que je n'ai rien à raconter. Alors je suis bon prince, je vais innover et vais répondre à l'attente silencieuse mais néanmoins lourde et prégnante des 23 lecteurs de ce blog sur ce que l'on pourrait presque appeler ma "prépa" 2011.

 

Effectivement, cela fait  un paquet de temps que je n'ai pas parlé d'entraînement, de qu'est ce que je fais, comment je le fais, pourquoi je le fais, et c'est sûrement parce que vous vous en foutez complétement. Et vous aurez bien raison, y'a rien de plus chiant à lire que des séances d'entraînements d'un mec qui coure 40' au 10 bornes d'un CD. (Loin de moi l'idée de dire que c'est nul, c'est juste que pour faire ce temps là, l'entraînement doit pas être révolutionnaire). Néanmoins, j'aime aller là où l'on ne m'attend pas, c'est la raison pour laquelle je vais parler de moi   :o)

 

Première chose, j'aime bien planifier, programmer mes cycles, mes séances, ma saison, et cette année... le vide interstellaire. La faute à une reprise càp tardive, à une clavicule pétée, une météo pourrave et diverses choses qui me servent d'excuses plutôt que d'avouer une certaine amotivation.

 

 

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Nouvelle technique donc. Des séances au jour le jour, en fonction de la motivation, de la météo et de l'emploi du temps. Et d'une manière générale si je devais décrire en une seule phrase ma prépa aujourd'hui, je dirais que : "Je suis méga à la bourre sa mère !"

 

Re-effectivement à force de me péter la clavicule et de m'étirer les psoas, j'en ai pas touché une jusqu'à mi-décembre.   

 

Mais commençons par quelque chose de positif, je nage bien et ça, c'est bien.

 

Rere-effectivement, vu que je n'ai pas couru jusqu'à mi-décembre, vu les conditions météo à ne pas mettre un péteux de la clavicule dehors sur un vélo, j'ai pris le temps de (re)nagé et ça a payé. J'ai ainsi changé ma manière de me préparer de l'an dernier. J'avais eu cette réflexion ultime de me dire, "Tiens tu nages pas trop mal pour une tritapette, mais tes bras font la même taille que ceux de ta fille et ils sont sûrement ton plus gros facteur limitant. Si tu travaillais un peu plus là-dessus, tu pourrais sûrement progresser et ainsi compenser le manque de bornes nata, malgré que ce dernier va impliquer une perte de sensation".

Et force est de constater que cette reflexion ultime qui m'a vu travailler beaucoup plus à sec, n'était vraie qu'à moitié, j'ai effectivement perdu beaucoup de sensations et la muscu n'a rien compensé du tout. Aussi, point de tergiversationsà avoir, retour a ce qui a fonctionné, un peu plus de bornes, de l'intensité et roule ma poule. Je ne suis pas un nageur de formation et il n'y a pas de mystère, je ne peux pas me permettre de ne pas toucher à l'eau. J'ai ainsi retrouvé des temps que je n'avais plus vu depuis quelques années(voir jamais fait) et je suis content. Dorénavant, l'objectif est ne pas trop perdre d'ici le début de saison étant donné que je vais moins nager au regard de nouvelles priorités d'entraînement. Il va falloir me trouver des subterfuges pour optimiser mon temps !

 

 

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Continuons avec quelque chose de moins positif, je n'en ai pratiquement pas touché une à vélo cet hiver.

 

Rerere-effectivement, depuis octobre, seulement 3 séances supérieures à 2 heures (dont une de 2h01 et une seule supérieure à 3h ) ce qui laisse augurer d'un énorme plaisir à venir sur les premières compètes. Néanmoins je ne suis pas homme à ne pas penser au lendemain, aussi ai-je effectué avec régularité le minimum syndical, à savoir mes séances d'1h à 1h15 sur H.T à intensité "on se touche pas les boules, mais c'est pas loin quand même".

 

 

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Finissons donc avec ce qui me pose tant de souci depuis juillet 2007 (Déjà, rhalala, ça nous rajeuni pas tout ça !) La course à pied. (Rendez vous compte,pour ceux qui suivent mes pérégrinations psoasiques,que cela fait déjà 3 ans1/2 que vous perdez votre temps sur ce blog ! Pour ceux qui ne savent pas de quoi je parle, je vous laisse rechercher dans les archives).

 

Je n'ai donc repris la course à pied il n'y a que 5 semaines et ce, très progressivement. Ce qui implique qu'aujourd'hui, mes 2 fartlecks de 55' sont les 2 pylones de ma prépa hivernale sur lesquelles vont s'appuyer la suite de ma prépa qui s'inspirera très fortement de celle de l'an dernier, (qui contrairement à celle de la nata a bien fonctionné au regard de ma pathologie et du fait que c'était une année de reprise) à savoir du travail très court mais très intensif (20-10/30-15/40-20/1'-30") pour limiter les risques pathologiques des longs fractionnés qui m'apparaissent aujourd'hui complétement inconsiderés au regard de ce que peuvent encaisser mes psoas. De plus, après une brève rétro-analyse post-saison des bio feedbacks des classements de la saison dernière, il a été remarqué par mon staff d'entraînement que mes meilleures càp ont été faites en mars/avril et ça, c'est nul. Je profite donc d'avoir un décalage d'un mois dans ma prépa pour tenter également le décalage de ma forme à pied, truc de gueudin. Bon, en fait c'est des conneries, parce que si j'ai été beaucoup moins jovial dans mes runnings l'an dernier en mai, c'est peut être aussi que je n'ai pas foutu grand chose à pied à l'entraînement à partir d'avril. 

 

Voilà, cet article sonne comme un coup de tocsin pour moi, cette publication comme un signal qu'à un moment la saison est proche et qu'il va falloir se sortir les doigts du cul, sous peine d'avoir encore l'odeur dessus au moment d'enfiler la combie.

 

 

 

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7 décembre 2010 2 07 /12 /décembre /2010 22:59

Alors voilà, on raconte des conneries, on se tait, et puis au final on ne sait rien de ce qui se trame et sera la trame de ma saison 2011 et je vous sens dans l'atermoiment le plus complet. Pauvre de vous. Alors qu'est ce que je trame ouai ? (Pfupfupfu !)

 

Alors j'avais "cut" ma connection blogesque pour 2 raisons, d'abord parce que je n'avais pas le temps et ensuite parce que je n'avais pas grand chose à écrire depuis mes exploits natatoires. En fait j'attendais de savoir si je pouvais à nouveau espérer une saison triathlétique complète, celle ci étant dépendante de la possibilité qui m'était donnée de courir ou non.  

 

Ayant tout de même recouru 2 fois cette semaine et pour pratiquement la première fois depuis début août (une fois j'ai couru après des sous mais ça ne compte pas) et les résultats étant non pas probants mais encourageants, je m'autorise à penser à une saison (grand fou) et à des objectifs (grand gueudin).

 

A première vu, voilà la première esquisse des premières pistes que je pourrais emprunter :

 

Après les premiers triathlons régionaux d'usage pour asseoir à nouveau ma domination, j'aimerai bien participer à un format qui m'attire beaucoup et auquel je n'ai jamais pu prendre part, c'est, si il a lieu, le Triathlon LD (ex format "C"), de Guerlédan (chez les bouseux de Bretons  :o)  

 

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Puis, suite à ma victoire sur ce triathlon, et si j'arrive toujours à courrir sans avoir l'impression d'avoir une aiguille qui s'enfonce dans le pubis ou qu'on m'écartèle les psoas, la probabilité sera importante que je me rende à Embrun le coeur vaillant et les veines saillantes avec la Green Team pour montrer à Jeff ce qu'est un vrai chrono de sportif sur cette course.

 

Mais avant tout cela, la route sera longue, entre entraînements et maintient d'une santé adéquate. 

Tiens c'est le moment d'un bref mais nécessaire "Poin sans T" (Comme c'est finement amené, on voit la maîtrise du rédacteur quand même).

Comme je le disais quelques lignes plus avant, ma reprise de càp laisse penser à un léger mieux, mais quelques spasmes restent toujours présents ici où là, au gré des activités et intensités. Cette année sera donc peu càpesque afin d'avoir une reprise légère et progressive et afin d'eviter toute rechute. Cela laisse donc augurer de càp encore épiques lors de mes prochains triathlons.  

 

L'attente du non retour de mes maux et de la sûreté d'effectuer une saison complète explique un peu mon entraînement de ce début de saison qui se veut au feeling et en fonction des opportunités de l'emploi du temps, de la météo et de l'envie, en quelques mots : "à l'arrache totale".

 

 Ici où là quelques séances de H.T, plus régulièrement de la nata, et j'essaie de m'astreindre au moins pour le moment à 1 séance de renforcement musculaire assez complète, qui vous vous en doutez, est ce qui me permet d'arborer ces pecs monstrueux.

=> (Suivez la flèche pour prendre le sens de l'humour).

 

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Néanmoins malgré ce travail pas forcément organisé et exigeant, j'avoue afficher un niveau nata assez honnête (les gens qui lisent assidument ce Bouboublog et qui connaissent mon humilité et savent mon "humblitude" liront entre les lignes : "monstrueux"). Etant un homme de compétition et de défi sportif, je ne pouvais laisser cet état de forme en l'état, je tenterais donc de faire concrétiser les bons chronos de l'entraînement en bon chrono de compète puisque je m'alignerai la semaine prochaine aux championnats du monde de Seine Maritime de 1500m.

 

Alors je ne suis pas de ceux qui n'annoncent pas leur temps objectif pour se laisser un échappatoire plein d'excuses en cas de contre perf ou feindre la surprise en cas de performance effectivement réalisée. Non, je ne suis pas de ceux là. J'annonce d'ores et déjà l'objectif : moins de 19'00 au 1500m.

 

Sauf si j'ai de la buée ou de l'eau dans les lunettes. Où que je les perde. Où que je perde mon maillot de bain.

 

A+ 

 

 

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27 octobre 2010 3 27 /10 /octobre /2010 20:16

"...En plus, départ 3', il est complétement malade !''

 

Ma pov choute, des 200 départ 3', en petit bac en plus, ça va être dur... Nan mais je vous jure, les jeunes aujourd'hui ils ont un mental de rhododendron. A mon époque, même en sachant que j'allais les nager en 2'58, j'aurais sorti "départ 3' ? Tu sers le café entre chaque rép ?" un peu de gueule que diable ! Faut aller vers le challenge !

 

Encore ce matin. Circuit training à sec avec un 50 taquet entre chacun des 6 exos. Sur le dernier, alors qu'il progresse a chaque 50 ( tu m'étonnes vu l'investissement sur l'exo à sec, ma grand mère aurait été plus dynamique...), il est a 25" sur l'avant dernier 50. Guigui tente de le motiver pour arriver à 24" sur l'ultime. Et qu'est ce qu'il dit ? "mais non je vais pas y arriver !"

Mais c'est quoi ce mental de poulpe ! Ah bah la France est entre de belles mains avec ce genre de Gugusse.

 

wesh wesh

 

Bon bah je m'en suis chargé... J'ai raté mais j'ai essayé ! Et puis à 7" près j'y étais. Je lui ai collé une branlé en plus... Sûrement mon plongeon digne d'un décolleté bien porté qui l'a déstabilisé au départ...

 

plongeon

 

Bref vous l'aurez compris, en ce moment, et à fortiori cette semaine, c'est nata. Ne pouvant courir, n'ayant pas le courage de sortir le vélo et voulant préparer les interclubs, je profite du stage du club de nat, pour faire quelques bornes en groupe et ainsi retrouver mon âme et ma motivation de pré-pubère boutonneux. (Je raconte des conneries, j'ai commencé la nata après la puberté). Bien que ce soit plus dur, c'est quand même plus facile. (?)

 

Quel plaisir de retrouver quelque chose de solide sous la main, même en étant tranquille. Sympathique sensation que de ce sentir glisser dans l'eau (à mon niveau évidemment). C'est le problème n'étant pas nageur de formation (n'étant d'ailleurs pas bien formé de base), il me faut un paquet de bornes pour être bien et clairement je n'ai plus le temps. Ça ne va pas (encore?) très vite, mais depuis le temps que je les cherchais ces sensations, ce sont, je l'espère, les prémices de mon retour dans le premier pack. Ce qui d'ailleurs ne servira a rien si il continue ce qui se fait actuellement, a savoir que je ne roule presque pas et cours encore moins, mais bon, on ne sait jamais, peut être vais je oser ressortir un vélo d'ici peu, les miens n'ayant pas vu la lumière du jour depuis le 4 août, et peut être que, sait on jamais, ma "poudrière" comme l'appelle mon kiné, me laissera suffisamment tranquille pour préparer sereinement cette nouvelle saison.

 

Saison qui n'a donc pour l'instant pas d'objectif. Ceux qui me suivent (sur ce globe ou dans la boubouse real life, pas dans les classements, ça ferait trop de monde), connaissent mon envie du Norseman, las, le retour en grande pompe de mes maux, ( en plus de la logistique) m'ont empêché de m'inscrire sereinement et je vois à nouveau, et à mon grand regret, ma participation à cette épreuve repoussée. Ce qui sera le cas pour toute épreuve IM si j'en suis encore à m'étirer pendant une plombe après chaque entraînement.

 

 étirement

 

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L'auteur.

Né à l'âge de 2 ans en 1912. Boubou eu 5 ans en 1937, et très vite il comprit que sa destinée était de dominer le monde et de manger des Tuc. Dès lors, avec force et abnégation il s'astreignit à un travail de tous les jours afin de mettre en place son vil et sournois stratagème. Hélas, il mourra avant que la mission de sa vie ne s'accomplisse, puisque c'est dans un incendie en sauvant 7 personnes d'un immeuble en flamme qu'il rendra l'âme. C'est con.

 

Présentation du receuil de textes

 

"Le triathlon est un sport où à la fin il arrive toujours un truc à Boubou". C'est ainsi que fut défini le triathlon par les infirmières de la clinique du Cèdre. En effet, fort d'une physiologie, d'une génétique et d'une volonté hors du commun, Boubou à cette particularité de ne jamais pouvoir donner la pleine mesure de son talent.

Pour autant, d'inénarrables aventures vous attendent, de la violence, du sexe, du sang, de la gloire, de l'érotisme, de l'humour, du suspens, du stupre, des cours de médecine et bien sûr des performances fantasmagoriques (ainsi que des fautes d'orthographes).

 

Alors évidemment, il ne s'agira pas non plus de vous écraser en vous racontant ma destinée, le contraste avec vos mornes vies vous ferait paraître bien miséreux, non, son but est juste de vous en donner un petit aperçu qui soit suffisament parlant pour que vous puissiez à la fois vivre ma vie par procuration et que vous vous rendiez également compte que le gars qui est derrière ce blog n'est pas le premier venu... mais plutôt le premier arrivé.

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