Je venais de reprendre l'entraînement depuis 3 jours. VDM.
J'avertis la ou les personne(s) qui sont en extase devant ce blog que ce
dernier n'a d'intérêt que si
vous vouez un culte a ma personne. Le cas non échéant, vous allez vous faire chier. Mais il n'est
jamais trop tard pour vous trouver une idole...
Voilà une semaine que je suis alone. En effet, alors que je restais dans mon chez moi a travailler un peu, Mme Bouboute et la cracotte, elles, partaient en vacances avec les parents de l'avant dernière et donc les grands parents de cette dernière si vous suivez tout bien.
Je fus donc alone pendant une semaine. J'ai donc redécouvert le mot "autonomie" lol.
S'eut été parfait pour s'entraîner. Mais le sort en décida autrement. Il fallu donc que je m'occupasse autement et le ciné fut tout désigné.
Comme j'aime bien voir des films un peu différents et après être allé voir le très beau film "Into the wild" de Sean Penn la semaine dernière (dont la BO est excellente), film racontant l'histoire de Chris mc Candless, que je conseil a tout le monde,
j'ai fait un petit virage dans le genre cinématographique et suis allé cette fois ci m'immerger dans l'univers glauque de Tim Burton pour visionner "Sweeny Todd". Un film musical a part a n'en point douter, dont on appréciera l'esthétisme et qui reste très appréciable pour qui n'est pas sensible de la pupille :o)) Les fans de Tim burton devraient apprécier.
Mais avec tout ça j'en oubliai que j'étais seul pour la St valentin. Rhooooo, c'est ballo ça !
Mais voilà,toutes les bonnes choses ont une fin et je récupère toutes la marmaille ce soir (cette phrase disparaîtra d'ici quelques heures).Jje vais devoir retrouver mon rôle de père responsable.
et arrêter de vivre n'importe comment. Faut vraiment pas que je vive tout seul :o))
A+
Back from the doc and what canaille say ? "Nothing ou presque" Alors je le dis : "Nothing ou presque".
En arrêt depuis, euh... pffff... euh... je dirais.... longtemps, je ne desespère pas de pouvoir reprendre un jour l'entraînement. Mais tout n'est pas si simple.
Mon doc, ne m'a pas caché son désapointement et sa frustration a ne pouvoir :
1- me dire exactement la cause de mon mal (même si au final on sait a peu près ce que c'est).
2- me permettre de me soigner définitivement.
Donc, après lui avoir expliquer ce qui c'était passé depuis ma dernière visite chez lui, a savoir une douleur importante au niveau d'un adducteur et un retour de la contracture du psoas malgré une petite reprise suivant un bon arrêt, après une osthéo consultation et les explications de mes propres expériences, la tentative de diagnostic tombe, et dans les grandes lignes conforme a mon attente :
Dysfonction de la symphise pubienne et un problème d'équilibre du bassin ayant pour conséquences la contraction du psoas et des douleurs adducteuriennes (?). Donc un problème plus "mécanique" qu'autre chose. A faire, pas grand chose. Il m'a fait comprendre qu'aujourd'hui , tout était en ordre, il a travaillé un peu sur mon bassin, mais cela ne l'empêchera de se rebarrer une prochaine fois.
Donc en attendant, encore une semaine de repos complet avec anti inflamatoires pour soigner le petit adducteur droit qui souffre. Puis reprise très douce et progressive.
-"Hummmm, t'as de problèmes d'estomac toi ?"
-"Euh, non."
-"Hummmm, bon.... je te met quand même... (soupir). Je vais te donner de "l'Indocid"... pendant une semaine"
-"Ouai."
-"... Je te donne quand même un truc pour l'estomac... parce que c'est un anti inflamatoire très puissant."
-"Hum."
-"En fait, tu le prends 5-6 jours, hein, pas trop longtemps"
-"Ok"
Chez le pharmacien :
-"Vous savez comment ça marche ça ?"
-"?"
-"Bon ça vous le prenez en suivant la posologie, et ça (le truc pour l'estomac, ndlr) même si vous pensez ne pas avoir mal à l'estomac, vous le prenez quand même ! (accompgné d'un ptit regard qui dit "tente pas le coup gamin, y'en a qui ont essayé... ils ont eu...des problèmes !"
-"?"
Bein quoi, c'est si fort que ça ? Je vais mourir dans d'atroces souffrances ?
A+
En attendant de rerereretourner voir mon doc et une éventuelle rererereprise, je passe mon temps libre a ne pas m'entraîner. Au début c'est chiant, ça ronge a l'intérieur et puis a la fin on s'y fait, on s'extraie du "monde triathlon".
J'en ai donc profité pour me remettre a quelques trucs que je pratiquais quand j'étais un jeune geudin, je voulais me remettre a la lecture, mais c'est con, j'ai perdu le reflexe de prendre un bouquin quand j'ai du temps libre, je n'y pense pas. Par contre j'ai recommencé la broderie ! C'est chaud au début de retrouver la technique, trop galère, mais après un peu de pratique, c'est bon, ça.... Oupss, je me suis trompé de blog, je croyais que j'étais sur l'autre.
Non, en fait je me suis remis a la gratte. Revival Death Metal power !!! Yeahhhhh ! Mother Fuck !!!
Bon, c'est con, j'ai qu'une guitare sèche alors évidemment pour le voisinage c'est mieux, mais quand je pars dans des solos endiablés d'une note toutes les 3 secondes, ça n'a pas le même rendu...
Ca doit faire dans les 10 ans que je n'avais pas retouché une guitare alors évidemment, les débuts ont été difficiles. D'ailleurs la suite aussi est difficile. Année que dote. Alors que je m'apprêtais a un ptit live dans mon chez moi, je demande a Mme Bouboute ce qu'elle pense de mes progrès et me lance dans une démonstration sans retenue de mon talent sur une chanson dont je ne lui précise pas le titre. Après avoir joué 3 fois le morceau, elle commence a me dire qu'elle reconnais des passages. Ah ! Je la refais une dernière fois et là, c'est bon. "Ca y est je reconnais" me lance t elle ! "C'est, nanana, gratte moi la puce que j'ai dans le dos !"
........................................................................................................................... Ô_o
Je lui joue un morceau du solo de "Bohemian rhapsody" de Queen et elle me sort, "gratte moi la puce que j'ai dans le dos". J'ai été obligé de lui faire comprendre qu'en plus de n'avoir aucune culture musicale, elle n'avait vraiment pas d'oreille.
Je m'en suis retourné a mes partitions et avec mes doigts "on fire" suis reparti salir "Street spirit" de Radiohead.
Un ptit coup de remember qui ne fait vraiment pas mal...
A+
Hola ! A quoi pensiez vous en voyant le titre bande de voyous ?
Alors au début, j'avais une idée d'un article sympa, drôle et plein de verve, mais en fait, non. Je vais en faire un a l'image de mon humeur du moment, triste, terne et aigri.
Mais revenons plutôt quelques jours en arrière :
Flashback : Tidudou, tidudou, tidudou... (Pour ceux qui connaissent Wayne's world)
Le ciel gazouille, le vent est clair et les oiseaux emettent une légère brise. Je gambade dans les rues de Rouen pour me rendre chez HE, le podologue des sportifs rouennais, afin, éventuellement de renouveller mes semelles. Pendant la consultation, il me dit : plus de contracture du psoas, mais une tendinite de l'adducteur. Soit. Il me donne le droit de reprendre doucement et cela suffit a mon bonheur, d'autant que pendant la consult, il me "libère" le bassin. Sur le coup, je n'y fais pas attention, mais ma douleur a l'adducteur a complétement disparue. Soit.
Je test donc a pied, RAS. Je test en nat. RAS. (Là, j'aime mieux vous dire que c'est la fête au village et j'y crois presque) je test en vélo et là, la douleur a l'adducteur est revenue. Damn ! Bloody Shit ! Mother Fucker ! Mais je ne m'en laisse pas compter et tente la libération du bassin que m'avait fais faire HE. Allongé sur le dos, les genoux fléchis et les pieds au sol, je serre fort mes 2 genoux avec quelque chose entre les 2, éventuellement un ptit "crac", puis dans la même position, je fais une ou deux élévation du bassin. Après avoir fait ça, je me relève et là, banco ! Plus de douleur dans l'adducteur. Je suis dans l'expectative et ne sais plus a quoi m'en tenir.
Les jours passent, je continue la reprise de l'entraînement, tranquillou et refait la manip a chaque fois que la douleur revient, en oubliant complétement mon psoas qui ne se fait plus sentir. Mais voilà, durant une petite sortie vélo, alors que j'avais les mains en bas du guidon, petite pointe dans le bas ventre, identique aux premières alertes d'il y a 6 mois. Je l'ai remarqué mais n'y prête point trop d'attention. Hier soir footing en nocturne et la même douleur qui m'accompagne durant les 40'.
Alors là, je dis non ! C'est pas possible ! Pétard de pétard devrais je dire ! (o;
Je n'ai presque rien fait, faible volume, peu ou pas d'intensité, même l'aquagym, je l'ai fait molo. Alors bon, il y a bien le jardin aquatique avec les gamins qui est rude, car la conquête du tapis orange n'est pas chose aisée contre 5 morveux ! (Une petite clé de bras ou une manchette deci delà ne sont pas de trop ! )
Bref, me voilà reparti pour aller chez le doc dans 10 jours. Après moults reprises et arrêts, j'en suis au même point qu'en août 2007 avec en plus, une éventuelle tendinite de l'adducteur, en plus d'un mental plus que lassé par tout ça.
Je commence a m'interroger sur ma participation Rothienne, vu la dépense physique effectuée depuis Val de reuil (proche du néant), soit 5 mois, et que cela ne semble pas près de s'arranger.
Quoiqu'il en soit, je me trompe et trouve une substitution dans la bouffe et la musique.
Enjoy !
A+
"J'ai fais un rêve". Oui, je sais, vous avez entendu cette phrase nombre de fois. Mais pour une fois, ce qui va suivre est interressant ! (En tout cas pour qui voue un culte à ma personne)
Moi, quand je fais quelque chose, je vais jusqu' au bout. Je vais au fond des choses et madame Bouboute pourra vous le confirmer (Rhooooo...). Je vais carrément, aujourd'hui, vous exposer mon subconscient à travers un de mes récents rêve et à partir de lui, vous faire part des récents événements de ma folle vie. Whaouuuu, truc de guedin !
(Là vous vous dites, "Ok, qu'est ce qu'il va encore nous saouler avec ses trucs à 2 balles qu'on s'en fout", et vous aurez raison de penser ça, par contre niveau syntaxe vous êtes une merde ! ).
Donc, mon rêve est celui ci :
Je suis en voiture sur les quais, à Rouen et file vers MSA. Je décide de passer sous l'enchaînement de petits tunnels qui permet d'éviter les feux des voies de droite. Jusque là RAS. Mais quand j'arrive face au tunnel, surprise, il y a une grande barrière qui de fait, barre son entrée. (Il n'y a pas de barrière dans la vrai vie). Casse l'ane t'y es ne, en poussant les barrières je passe, elles n'étaient pas fermés à clés. Je continue mon petit chemin, idem pour le deuxième tunnel et remonte le Boulevard des Belges (Big up to Firo et J ;o) mais je ne suis plus en superbe 207 bleue qui claque
(C'est la magie des rêves), mais en espèce de petit véhicule moderne dont je ne connais pas le nom. Vous savez cet espèce de truc sur 2 grosses roues côtes à côtes avec un manche et un guidon qui permet à une personne d'avancer en s'inclinant. Ouai, bon, c'est pas grave. (Ca y est, j'ai trouvé une photo !)
Bref, je suis sur ce truc au lieu de ma voiture Ô_o et porte dans mes bras quelques chose d'assez imposant et lourd. De fait, je n'arrive pas à avancer correctement et à trouver mon équilibre sur la bête. J'avance difficilement. Mais j'arrive malgré tout à une sorte de stand dans la rue où est vendu de la bouffe. Crèpes, gauffre et autres conneries. J'ai un peu faim, mais je me dis "au non, tu vas bouffer ça !"
Et après, je me réveille... à 6h du mat... Gné ?
Je ne pouvais pas faire un tel rêve et ne pas tenter de l'analyser. (Car Boubou analyse tout ! Il ne laisse rien au hasard et blablabla et blablabla... )
Bref, voici l'auto analyse de se rêve qui ma foi, colle pile poile aux précédents jours de ma vie.
Vrai vie, ETAPE 1 :
Je roule dans Rouen sur les quais bas dans ma voiture vers VdR. Grande ligne droite avant la petite chicane. Une Opel me double à env. 90km/h, je me dis "ok mon coco, je me mets dans "l'aspi" en me disant que si il y a un radar, ils vont le choper en premier, ayant reperé un endroit où la maréchaussée se mettait de temps à autre (Précisemment dans les fourrés dans la chicane). Mais voilà, au dernier moment l'opel se met dans la voie de gauche pour prendre le tunnel et retourner dans Rouen centre et me retrouve ainsi plein axe. Direct, je me dit, "Ok, quel est la probabilité qu'ils trouvent justement là à ce moment là ? Très faible, je jette donc un oeil, à l'endroit précis où je savais qu'ils se mettaient et direct, il y a quelque chose de pas normal. Du bleu marine dans les fourrés, ce n'est pas chose commune. Vu le nombre important de connexions neuronal de Boubou, j'ai vite fait de comprendre, surtout quand je vois une main se lever. Moi, j'ai déjà déceleré depuis un moment. Un gendarme enjambe le muret et me fait un signe. Je me dis "Toi, mon Boubou, tu vas prendre cher dans ta gueule c'est à n'en point douter !"
Il me fait signe de ralentir et me me montre un doigt désaprobateur qui fait "Attention".
Je lui demande si je me gare ou pas, il me fait signe de continuer. Oufffffffffffffffffffffffffffff. Je regarde sur la droite en passant et je comprends pourquoi je passe sans encombre. Y'a plus de place pour me garer, déjà 3 voitures arrêtés.
Dès que j'ai dépassé, je passe la seconde et monte a 5000 tours pour faire ronfler le moteur et récupérer mon retard ! Non, en fait j'étais à 30 en 5ème...
Analogie : Gendarme = barrière. je dois pas pouvoir passer et pourtant je passe.
Vrai vie Etape 2 :
Je vais au cabinet de HE pour un éventuel refaisage de chaussure. Durant la consultation, je lui parle de mon problème de psoas. Il m'osculte et me diagnostic sur la douleur supéro-interne de ma cuisse non pas une contracture du psoas, mais une tendinite de l'adducteur.
Au final, il me dit de reprendre l'entraînement, tout doucement sans trop d'intensité à vélo et à pied.
Analogie : J'essaie d'avancer avec quelques chose qui m'en empêche et me retarde = je tente de m'entraîner avec une blessure.
Vrai vie Etape 3 :
Depuis les fêtes je mange n'importe quoi et surtout beaucoup trop par rapport à ma vie sportive avec en apothéose, dimanche dernier, un petit 13h-19h à table. Le truc où quand tu sors t'es dépouillé du bide et où tu te dis que c'est fini et que tu vas faire attention.
Analogie : Stand de crêpes et autres conneries que je ne veux pas prendre = trop bouffé depuis des mois.
Voilà qui ma foi était fort intéressant, ce fut dommage de ne pas en faire un article, vous en conviendrez.
A+
Retour sur mon rereretour chez mon médecin de mercredi dernier que mes douleurs psoasiques m'ont contraint a rereretourner voir 5 mois après mes premières douleurs :o/
The psoas tendon (1) is underneath the psoas muscle (2). A path to the psoas tendon (3)
dives beneath the muscle up into the pelvis.
Après un rapide retour du pourquoi du comment puis une brève palapation/ manipulation, le verdict tombe tel un couperet : Il n'y a pas de raison que le contracture soit toujours là. Et pourtant elle est toujours là. Mais il ne sait pas pourquoi. Mais elle est quand même là. Pourquoi, on sait pas. Mais elle là. Bref, après avoir vérifié que toutes mes vertèbres et bassin étaient au bon endroit et m'avoir avoué son impuissance relative, je repartais avec une ordonnance pour refaire mes orthèses plantaires qui, il est vrai, commencent à dater. Serait ce la raison ?
Il me dit que je peux continuer à m'entraîner malgré tout, tant que je n'ai pas de douleurs spécifiques à ma pratique sportive. (Là, ce sont des douleurs sur certains mouvements usuels qui ne sont pas ceux de ma pratique sportive et qui se situent sur l'insertion basse dudit muscle. Ce qui montrent une évolution géographique de la contracture, car les douleurs se trouvaient au début sur la partie supérieur du muscle, intéressant non ? :o)). Les douleurs qui m'ont poussé a venir le voir allant crescendo et commençant progressivement a apparaître durant la càp, j'ai préféré m'octroyer malgré tout, 1 semaine d'arrêt complet. 1 semaine qui pour l'instant ne porte absolument pas ses fruits puisque la douleur sur l'insertion basse est toujours aussi intense. J'ai rendez vous lundi 21 chez HE pour refaire mes semelles. Sera-ce suffisant ?
Si ce n'était pas le cas et que fin février ces douleurs n'étaient toujours pas partie, j'aurais comme mission de retourner voir mon doc, pour dixit ce dernier :"Employer les grands moyens". Moi : "Euh... c'est quoi les grands moyens ?" Lui, avec un sourire au coin des lèvres : "C'est les grands moyens..."
Bref, ceci est donc la raison pour laquelle je ne participerais pas a la CO diurne de mon club de ce jour, mais mon estomac se portant bien malgré tout, je serais présent à la crêpes party :oP où l'on risque encore de bien se fendre la gueule !
A+
Né à l'âge de 2 ans en 1912. Boubou eu 5 ans en 1937, et très vite il comprit que sa destinée était de dominer le monde et de manger des Tuc. Dès lors, avec force et abnégation il s'astreignit à un travail de tous les jours afin de mettre en place son vil et sournois stratagème. Hélas, il mourra avant que la mission de sa vie ne s'accomplisse, puisque c'est dans un incendie en sauvant 7 personnes d'un immeuble en flamme qu'il rendra l'âme. C'est con.
"Le triathlon est un sport où à la fin il arrive toujours un truc à Boubou". C'est ainsi que fut défini le triathlon par les infirmières de la clinique du Cèdre. En effet, fort d'une physiologie, d'une génétique et d'une volonté hors du commun, Boubou à cette particularité de ne jamais pouvoir donner la pleine mesure de son talent.
Pour autant, d'inénarrables aventures vous attendent, de la violence, du sexe, du sang, de la gloire, de l'érotisme, de l'humour, du suspens, du stupre, des cours de médecine et bien sûr des performances fantasmagoriques (ainsi que des fautes d'orthographes).
Alors évidemment, il ne s'agira pas non plus de vous écraser en vous racontant ma destinée, le contraste avec vos mornes vies vous ferait paraître bien miséreux, non, son but est juste de vous en donner un petit aperçu qui soit suffisament parlant pour que vous puissiez à la fois vivre ma vie par procuration et que vous vous rendiez également compte que le gars qui est derrière ce blog n'est pas le premier venu... mais plutôt le premier arrivé.